Sacré septembre.
Drôle de gai lutin, tu ne sembles pas prêt
Au revoir au vieux pan qui peint encor pèches
En ce clos jaunissant malgré de larges brèches
De verdure à l'ombrage au sud de la forêt,
Dis-moi joyeux luron où sont donc tes attraits
Ne serais-tu l'ami par-delà, tôt, revêche
L'âme têtue encor sur le bord de la bêche
Où de l'épouvantail à ses si vilains traits,
Mais j'espère, du moins, que tu te souviens l'âme
De l'an dernier ici, que t'avais belle flamme,
Quand le bois tout là-bas reprend sa couleur d'ambre,
Sous l'office léger de tes doigts, bel acteur
Toi roi de nos tableaux où tranche une couleur
La tienne, je te dis, joli mois de septembre...
Daniel beau le poète rêveur
06 septembre 2023
Inknotpad
Google Chrome
13:19
Drôle de gai lutin, tu ne sembles pas prêt
Au revoir au vieux pan qui peint encor pèches
En ce clos jaunissant malgré de larges brèches
De verdure à l'ombrage au sud de la forêt,
Dis-moi joyeux luron où sont donc tes attraits
Ne serais-tu l'ami par-delà, tôt, revêche
L'âme têtue encor sur le bord de la bêche
Où de l'épouvantail à ses si vilains traits,
Mais j'espère, du moins, que tu te souviens l'âme
De l'an dernier ici, que t'avais belle flamme,
Quand le bois tout là-bas reprend sa couleur d'ambre,
Sous l'office léger de tes doigts, bel acteur
Toi roi de nos tableaux où tranche une couleur
La tienne, je te dis, joli mois de septembre...
Daniel beau le poète rêveur
06 septembre 2023
Inknotpad
Google Chrome
13:19